RAPPORTS ET DISCERNEMENTS

Comment vivons-nous  notre vies ? Alors que nous commémorons la vie de nos frères et sœurs  défunts  de l’ordre  de Carmel, le père Miguel Ángel a posé cette question pour encourager la réflexion. Il nous a rappelé que nos vies doivent naître de la miséricorde et de la compassion, et non de l’indifférence. L’amour est une action.

Dans un climat de prière et de confiance, nous avons continué à accueillir les rapports sur le domaine pastoral  et sur le domaine économique, présentés respectivement par Sœur Xaverine Nyirabarera et la Sr Maria Teresa Garcia . Apres  chaque rapport, nous avons eu un moment de silence pour notre réflexion personnelle. Nous leur sommes reconnaissantes pour leur audace, leur clarté et leur sincérité.

Après une réflexion personnelle, nous avons partagé au sein de la communauté de discernement et ensuite en plénière, cherchant lueur des appels de Dieu à notre famille religieuse et à nos préoccupations, tout en cherchant également des horizons pour continuer à fleurir et à donner des fruits maintenant et en temps voulu.

La session de l’après-midi a été l’occasion de poser des questions et d’apporter des éclaircissements sur les différents rapports. Les conseillères générales nous ont  répondu avec certitude et promptitude .

Après une journée intense, pleine d’émotions, de joie, de souffrance, d’engagement et de rénovation , nous avons terminé la journée par une prière. Nous avons fait l’expérience d’un pèlerinage spirituel dans six espaces de prière, chacun pouvant prier dans un espace en fonction de ses besoins. Une maison de communion, espace de réconciliation, espace de restauration de la beauté de l’Eglise, espace de soulagement et de liberté, espace de contemplation de la beauté de l’Eglise, ce moment nous a permis de renaître à la communion et de marcher à nouveau ensemble vers l’Eglise qui nous attend. Felicísimo Martínez OP et Arantza Yubero, psychologue, nous ont accompagnés dans cette expérience. Un  embrassement  fraternel  avec la pétition « allume-moi, j’ai besoin de toi » a été le dernier rite avant de passer à la salle à manger.

 

 

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